(Joshua T. Barnes) // Potentiel du corbeau// Confrérie

"Even death has a heart." — Markus Zusak.

Dans beaucoup de croyance, le corbeau est signe de mauvais présage. Il en est d'autant plus vrai lorsque Joshua est dans les parages. Un peu trop coude à coude avec la mort, il partage un lien sans équivoque avec ce volatile au plumage noir. Ses ricanements aux fond de la pièce plongée dans le noire sont comparables à leur cri si particulier, crissant et angoissant. Le plumage noir de l'oiseau contraste avec sa peau extrêmement pale comme si l'homme n'a jamais croiser les rayons du soleil. Cependant leur regard se confondent, froid et sombre, seul la lumière semble apporter une lueur.

Née dans un petit quartier reclus de Londres, ce dernier a vite fait la connaissance de ces volatiles qui habitaient la vieille église à coté de la petite maison familiale. Alors que les autres enfants les fuyaient ou les chassaient, lui s'en approchait et tentait toujours de prendre contact avec eux, de les toucher du bout de ses doigts fins. Et tout au long de sa vie, les corbeaux le suivaient, il y en avait toujours à proximité. Curieux et avide de savoir, l'homme a vite trouvé la réponse à sa question, sur la nature de son être et comprit ce qu'il était, un potentiel.