Là, dans la petite case - Aurore - Page 2



 

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  • 07 novembre 2018NOUVEAU DESIGN - L'hiver arrive sur Instincts !
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  • 15 août 2018Ouverture de la partie jeu.
  • 01 août 2018Ouverture générale du forum et des inscriptions.
  • 03 juillet 2018 Création du forum.
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Là, dans la petite case - Aurore

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Aurore Rosenwald
Age : 38
Lettres déposées : 67
Anima : Araignée
Crédits : amorfati





Aurore Rosenwald
Troisième hiérarchique de la Confrérie
Dim 2 Déc - 15:52

Something separates me from other people.

Bien que la voiture soit à l’arrêt, Aurore garde ses mains sur le volant en fixant la devanture du magasin d’un air impassible. Dans quoi s’était-elle fourrée encore, pour combler un ennui qu’elle aurait mieux fait d’assumer. Un soupir s’extirpe difficilement de ses lèvres qu’elle garde assez proches, et dans un élan dont elle ne connaît pas la nature de la motivation, elle sort de la voiture et claque tranquillement sa portière. Instinctivement, elle s’éloigne du véhicule et incline doucement la tête pour vérifier l’état de son pneu et en apercevant qu’une plume était restée coincée dans la bande de roulement, un sourire satisfait égaye soudainement son visage. Elle hausse une épaule en plissant ses lèvres vers le bas, sur le constat qu’elle avait plutôt bien assuré sa manœuvre, et finit par tourner le dos au véhicule pour t’emboîter le pas. Mais très vite, les traits précédemment détendus de son visage se crispent et son nez se fronce sous l’odeur puissante de cette nourriture bon marché. Elle ralentie alors la cadence, comme si elle n’était plus sûre de vouloir te suivre dans cette aventure. A ta réflexion, un sourire élargit grossièrement ses lèvres et elle tourne sa face faussement détendue vers toi.

« Après t’avoir vu te gaver comme une oie handicapée, et ce sans dégobiller ou ne serait-ce que broncher… Tu devrais pourtant avoir compris que j’ai l’estomac bien attaché et les intestins solides. » lâche-t-elle simplement sur un ton déconcertant, son sourire se faisant plus mince avant qu’elle ne hausse doucement ses sourcils. « Mais je te remercie de l’attention que tu portes pour mon transit intestinal. »

A peine sa phrase terminée que son attention est capturée par la parole incessante du vendeur qui attendait pour prendre commande. A en croire les acouphènes qu’elle avait, il devait tenter de lui adresser la parole depuis un moment pendant qu’elle occultait totalement sa présence. Mais son regard fini enfin par se tourner vers l’homme impatient, qui lui redemande pour la énième fois ce qu’elle prendra.

« Un carpaccio de saint-jacques aux truffes noires avec un jolie filet de coulis citronné. » répond-t-elle le plus naturellement possible alors qu’il la dévisage d’un air coi. « Une barquette de frites, ça ira. »

Aurore soupire doucement alors que son regard s’assombrit sous la réaction ennuyante du vendeur. Elle se tourne enfin vers les tables qui s’offrent à vous et plisse ses lèvres d’un air perplexe tout en approchant sa cigarette de ces dernières. Et finalement, résignée, elle choisit une table près de la fenêtre en se disant que peut-être… L’air extérieur viendrait purifier celle du restaurant et que ses cheveux n’en porteraient pas l’odeur nauséabonde qui s’en dégageait. Une fois installée, après avoir prit le soin de choisir la chaise la moins sale, elle relève son menton pour te regarder.

« Et... C'est à ça que se résume tes journées, sinon ? Manger... Mandier, voler ? » demande-t-elle alors que sa lèvre supérieure se redresse légèrement d’un air de compassion intriqué à une forme de mépris, donnant un résultat assez incohérent qui vient défaire l’harmonie de ses traits.
@Lorias Carden
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Lorias Carden
Age : 32
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Anima : Pigeon
Métier : Polyvalente en chômage
Crédits : Orion pour le magnifique gif de signa' ♥ Roger et moi sommes très contents et te remercions !





Lorias Carden
Affranchie
Jeu 13 Déc - 9:53



Là, dans la petite case.
J'adorais cette odeur de nourriture low cost. La fausse commande de l'assassin me tira une grimace. Qui voudrait bouffer ça pour son goût, sans déconner ? C'était le genre de plat dont la quantité ne dépassait pas une cuillère à soupe et dont le goût vous surprenait tant que vous vous souveniez soudainement que vous aviez oublié de prendre votre Smecta la veille. J'avais eu une fois l'occasion de goûter à ces plats gastronomiques et plus jamais je n'avais osé recommencer.
Ma barquette jaune à peine payée, je l'ouvris pour saisir une grande bouchée. C'était bien meilleur que les haricots. Je rejoignis la table choisie par la duchesse dont l'identité m'était encore floue. Je la voyais avec un titre de noblesse, un truc à la con comme duchesse, marquise, ou comtesse, le genre de nomination qui vous fait sentir plus important que les autres.
- C'est pas une barquette de frites qui va remplir ton estomac. Tu ne vas pas avoir grand chose à vomir, quand je t'aurai trop dégoûtée.
Je mordis de nouveau dans mon sandwich, voyant défiler dans ma tête les images de ses opinions. Elle devait me voir comme la meilleure des clochardes, une clocharde bien pourrie qui vole quand elle en a marre de mendier, pisse dans les rues et dort sur les quais du métro. J'avais quand même un peu plus de classe que ça.

Evidemment, ma vie ne se résumait pas à voler, manger, mendier. J'avais des occupations fascinantes que la marquise ne devait pas imaginer.
- Non, je baise aussi, répondis-je calmement, puis reprenant une énorme bouchée de mon sandwich dont les ingrédients tâchaient les contours de ma bouche.
Je m'essuyai avec le revers de ma main. J'avais là ma deuxième occupation préférée après la séduction : le dégoût. Quand les gens pensaient que l'espèce humaine ne pouvait tomber plus bas, j'apparaissais au bout de la rue, Roger sur mon épaule, les cheveux emmêlés et le t-shirt tâché de sauce kebab. Finalement, j'étais assez propre aujourd'hui.
- Toi, tu fais quoi à part péter plus haut que ton cul ? A ce niveau-là, tu peux demander à entrer dans le livre des records, même moi j'arrive pas à lever aussi haut.
J'enfournai quelques frites, savourant ce mets sacré, mais fut dérangée par une sensation électrisante sur le bout de mon pied. Je jetai un coup d'oeil, découvrant une araignée qui me marchait dessus librement. Je secouai le pied pour la faire tomber au sol et l'écrasai aussitôt. Je voulais savourer mon kebab en paix, bien que la présence de l'autre femme ne promettait rien de tel.
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Aurore Rosenwald
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Aurore Rosenwald
Troisième hiérarchique de la Confrérie
Dim 16 Déc - 0:24

Something separates me from other people.

Alors que tu t’installe, et qu’elle ne semble pas accorder plus d’importance à ta présence que ça, elle tourne son visage vers son épaule et renifle ses cheveux, du bout de ses narines timides de rencontrer une odeur désagréable, d’huile végétale ou encore de graisse de viande. Peu satisfaite par l’effluve déplaisante qui émane de sa chevelure, et ce malgré son shampoing au jasmin, elle fronce son nez dans une grimace naturelle. La barquette de frite arrivant, elle se décale davantage sur son siège, comme pour ne pas être contaminée davantage par le vent malodorant qui la menace à chaque passage d’un malheureux qui ose exciter les particules d’air, et elle remercie le pauvre homme d’un sourire absolument forcé.

Elle arque un sourcil à ta première réponse, tournant son visage lentement dans ta direction et roulant son regard interloqué vers toi.

« Eh bien. Tu n’as plus qu’à arrêter de t’épiler, et nous pourrons annoncer fièrement au reste du monde que notre chère australopithèque Lucy n’est en réalité jamais morte. »

D’un air toujours assez offusqué d’assister à aussi peu de manière, elle tente pourtant de faire l’impasse et soupir son désespoir pour l’oublier. Aurore saisit une des frites entre ses doigts toujours aussi soigneusement articulés, et alors qu’elle s’apprête à croquer dans l’aliment, son visage s’illumine d’une surprise moins retenue que la précédente. Elle te regarde quasiment choquée par autant d’inconvenance, mais ce qui la frappe davantage, ce ne sont non pas tes mots, mais le sort que tu réserve à cette pauvre araignée qui finit sous ta semelle. Son visage se décompose progressivement, passant d’un crème à un teint plus blafard, ses yeux au contraire s’assombrissant. Elle referme doucement sa bouche, et alors qu’elle recule lentement sa face pour te jauger longuement, sa langue passant entre sa dentition supérieure et sa lèvre, pour que finalement elle inspire par ses narines et hausse les sourcils en laissant retomber sa frite.

« Tu sais ce que je me disais ? » demande-t-elle d’une voix assez vague, laissant présager une réflexion de sa port. « Je pense sérieusement, que cette couleur de cheveux ne te va pas vraiment. Ça manque de… Peps. »

L’air toujours étrangement songeur, elle se redresse lentement à l’aide de ses mains sur la table, et se dirigeant avec une lenteur anormale vers la table suivante, elle attrape délicatement un pot de ketchup pour finalement se tourner vers toi dans un air qui ne laisse absolument rien entrevoir de ses intentions. Et enfin, elle relève le bras au dessus de ta tête, retourne le tube, et presse longuement ce dernier entre ses doigts pour laisser le ketchup se reverser excessivement sur tes cheveux.

« C’est un peu mieux. » ajoute-t-elle en attrapant une frite dans sa barquette, pour la tremper légèrement dans la zone où le plus de sauce est présente, et enfin la déguster sans aucun soucis d’hygiène. Pour le coup, elle avait strictement rien à foutre.
@Lorias Carden
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Lorias Carden
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Lorias Carden
Affranchie
Lun 4 Mar - 12:13



Là, dans la petite case.
C'était pas mal, comme prénom, Lucy. Ça ressemblait un peu à Lorias. Etant pour la préservation des espèces, je voulais bien incarner la survie de Lucy. Elle était peut-être mon ancêtre direct, auquel cas je penserai à me faire un paquet d'argent là-dessus. Aurais-je passé toute ma vie à côté d'une telle occasion sans le savoir ? Cela serait fort dommage. Je n'aurais jamais eu à travailler ni à faire la manche, il m'aurait suffi de m'afficher dans les zoo, nourrie et logée gratuitement. Pour ce prix-là, je voulais bien apparaître dans mon état de vie naturel, entre la poubelle et le tas de vêtements usés. C'était ma réflexion personnelle sur le sujet que je développai pendant trente bonnes secondes, ce qui suffit à l'autre pour contre-attaquer. En effet, je considérais désormais cela comme une attaque. Elle avait d'abord attaqué ma dignité en me forçant à voler pour payer un repas, puis elle avait attaqué Roger, et la voilà qu'elle attaquait ma pudeur en me déversant ainsi du ketchup. J'avais déjà utilisé maintes fois de la mayonnaise de chez KFC en guise de shampoing par manque d'argent, mais du ketchup ? Jamais cela ne m'était venu à l'esprit.

Ma réaction à cela était évidente. J'avais une sorte d'admiration mélangée à du dégoût à l'égard de ce geste, alors sans hésiter je fis part de mes émotions en prenant cette femme dans mes bras, y ajoutant le soin d'enfouir mon visage dans son cou, mes cheveux se frottant aux siens et à sa joue.
- Nous partageons beaucoup de choses, toi et moi, déclarai-je une fois l'étreinte terminée.
J'avais tenu à partager ce ketchup. J'en connaissais le prix et ne comptais pas le gâcher. Je saisis une frite de ma boîte et la glissai dans ce qu'il restait de ketchup écrasé contre mes cheveux. Je l'induisis et la fourrai dans ma bouche. J'avais eu droit à un supplément ketchup, c'était pas si mal en fin de compte. Ça m'ouvrait d'autant plus l'appétit. Je pris une bouchée de mon sandwich, accordant un sourire à ma nouvelle amie. La bouche pleine, je manquai de laisser dégouliner de la sauce en souriant aussi grand. Eh bien, ça n'aurait pas été si grave. J'avais un essuie-tout en ma compagnie.
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Aurore Rosenwald
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Aurore Rosenwald
Troisième hiérarchique de la Confrérie
Jeu 14 Mar - 11:43

Something separates me from other people.

Le sourire sournois qui dessine ses lèvres ne s’efface pas quand tu te lèves, comme si elle ne voyait rien venir. Aurore préfère plutôt lever les yeux vers tes cheveux où dégouline le ketchup dans la nette intention de recouvrir ton visage d’un voile de maquillage alimentaire. Et son inattention quant au reste ne lui permet pas de prévenir ton geste, alors elle réalise bien trop tard que tu t’es jetée dans ses bras pour faire un transfère de ketchup par le biais d’un câlin pour le moins répugnant. Déjà qu’elle n’aimait pas les contacts physiques, celui-ci était encore plus outrageant qu’aucun autre. L’air choquée, elle ne réagit que lorsqu’une sensation froide et désagréable caresse son cou quand le ketchup s’y étale. Écarquillant d’abord les yeux et entrouvrant ses lèvres avec stupeur, tous ses membres se raidissent et elle sent une vague froide désagréable faire trembler son échine. Elle grimace alors soudainement et son visage arbore une mine plus dégoûtée et agacée alors qu’elle étire son long cou pour tenter d’éviter le mal pourtant déjà fait. Les doigts de sa main gauche s’écartent les uns des autres et elle la bat dans les airs avant de poser son autre main sur ta tête, y allant à tâtons pour éviter de se salir davantage, et pourtant assez grossièrement pour repousser ta face.  Et si elle avait tenté de te repousser plus tôt, le résultat était déjà bien assez visible et ton tour avait malheureusement fonctionné, alors c’est dans une mine résignée qu’elle ne cherche même plus à t’écarter et que tu finis par le faire de toi-même.

Son regard noir foudroie le tiens en mauvaise perdante. Même si elle avait cherché, elle n’était pas habituée à ce qu’on réponde à ses attaques. Personne n’osait vraiment. Elle reprend place sur le siège en face du tiens et étend fièrement son cou tout en prenant soin d’écarter ses cheveux de son visage du bout de ses doigts non salies par le ketchup. Cet air fier avec ce coulis rouge de partout, c’était à en faire rire le plus coincé des hommes.

« Bien, bien, bien... J’avoue que tu rends assez bien les coups. » annonce-t-elle sur un ton qui se veut détaché, mais où on peut déceler aisément dans le timbre un octave plus haut, montrant bien qu’elle était touchée.

Attrapant un mouchoir dans la poche de sa veste, elle essuie délicatement le ketchup sur sa joue et regarde le tissus en haussant très lentement ses sourcils quand elle aperçoit le fond de teint se mélanger avec le condiment.

« C’était du Chanel. » avoue-t-elle d’une voix basse et grave, comme si elle était en deuil, avant de relever son regard vers toi et de te regarder te servir à-même ta tête. « Au moins tu reconnaîtras le côté pratique de la chose. »

Son sourire pâle est agrémenté d’un petit rire sans joie, puis elle reporte son attention sur ses frites pour en saisir une et l’apporter à sa bouche, ignorant à présent le reste de ketchup qui la recouvre. Le gérant du kebab s’approche alors et elle ne prend pas la peine de le regarder.

« Dehors. » dit-il d’une voix sévère et autoritaire.
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Lorias Carden
Affranchie
Dim 24 Mar - 13:47



Là, dans la petite case.
C'est qu'elle était plus belle, avec cette amélioration, ce côté pauvre sale la rendait plus sexy. Je pris le compliment bien que je m'en foutais de ce qu'elle pouvait penser de moi. Elle avait peut-être déjà réussi à remarquer que je n'avais pas d'amour-propre. Ni positif, ni négatif. Juste nul. J'appréciais emmerder les gens sans raison, sans réellement envisager les conséquences de mes actes. Cette fois-ci, la conséquence fut simple : on se fit virer du restaurant. Sur ce coup, j'étais étonnée. Je n'avais jamais été éjectée d'un kebab, malgré ce que j'avais pu y faire par le passé. Fallait vraiment être accompagné d'un bobo pour être viré d'un restaurant de pauvres. Si je vendais son Chanel, je pourrais peut-être acheter le restaurant. Je saisis ma barquette et quittai les lieux. Je ne voulais pas me mettre le propriétaire à dos, je l'aimais bien, même si je ne comprenais pas ce qu'il me hurlait quand je débarquais chez lui sans argent. Devant la vitrine, j'aperçus le patron et collai mon visage à la vitre pour lui faire un signe amical. Il était certain que je reviendrai, qu'il le veuille ou non. Sa vitre sali par le ketchup, je reculai et hurlai en direction de ma sympathique compagne.
- Rentrons chez toi, j'ai besoin de prendre une douche.

Elle ne m'appréciait pas, ce qui était réciproque. C'était un beau début de relation amicale, alors autant voir jusqu'où on pouvait aller. Je voulais bien voir où elle habitait, si ça ne l'effrayait pas trop de m'avoir près de ses biens, et me laver dans une salle de bain de riches. Pour moi, les HLM étaient déjà trop chers, alors j'avais envie de voir ce que c'était qu'un habitat de gens qui avaient les moyens. Beaucoup de moyens. J'avais bien envie d'essayer un Chanel aussi, ou une autre marque, tant que ça me donnait l'air riche. Si j'avais ça, je pourrais aller dans des réunions de gens riches, séduire une femme riche et la voler pour être moins pauvre. L'idée me plaisait bien, mais c'était loin cherché à ce stade. Il fallait déjà que mon amie riche accepte de me faire visiter son chez elle riche. Un endroit sûrement plus riche que cette barquette de kebab ne l'était en gras.
Fiche codée par NyxBanana



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